2ème épisode Sécurité & Formation : Le parachute de secours

"Il n’y a pas de plaisir réel sans sécurité maîtrisée."

2ème épisode Sécurité & Formation : Le parachute de secours

Le Parachute de secours : Deuxième épisode de la série pédagogique au sujet de la Sécurité.

Jean-Christophe Gibert, responsable Formation Sécurité, nous explique quand et comment utiliser son parachute de secours.

 

Pour en savoir plus sur le parachute de secours et les aides que propose la Fédération, rendez-vous sur la rubrique Parachutes sur le site de la FFPLUM : https://ffplum.fr/securite/parachutes

Toute forme de vol comporte une part de risque, quel que soit l’aéronef sur lequel on vole.

C’est pourquoi le vol est une activité à pratiquer avec beaucoup de rigueur. Tout pilote doit voler en respectant scrupuleusement les règles en vigueur et en se montrant extrêmement attentif aux conditions météorologiques.

Les statistiques montrent aujourd’hui que l’ULM n’est pas plus dangereux que les autres activités aéronautiques.

Mais l’ULM souffre encore d’une image négative héritée des balbutiements et des approximations qui avaient cours au début des années 1980.

Cette activité est, en 2018, pleinement mature.

para sauve

Ce sont des constructeurs professionnels maîtrisant parfaitement les règles de l’art qui produisent 90% du Parc ULM actuel.

Un appareil moderne, qu’il soit de technologie «tubes et toile» ou «composite», apporte un niveau de sécurité comparable à celui d’un avion léger. Le pilote doit, bien entendu, entretenir correctement son appareil, et l’utiliser selon les prescriptions de son constructeur,

La faculté de pouvoir poser facilement un ULM en fait un élément de sécurité supplémentaire.

fuseeDe même, la faible masse volante de l’ULM (450 Kg maximum) permet de l’équiper d’un parachute de secours.  En cas de grosse difficulté rendant l’appareil ingouvernable, cet équipement pourra ramener au sol l’ensemble machine et équipage.

L’analyse des causes d’accident les plus fréquentes montre que malheureusement, comme en matière de circulation routière, c’est souvent le comportement du pilote qui est en cause. Vols rasants, acrobaties, conditions météorologiques insuffisantes, fatigue… sont souvent à l’origine d’accidents qui pourraient être évités.